Décalés, vieillissants, inconfortables, les roadsters britanniques purs et durs sont pourtant toujours à la mode à la fin des années 1960, bien que leur règne touche à sa fin. Plébiscitées par les amateurs de sensations fortes, ces voitures de sport bourrées de charme brillent toujours par leur mécanique généreuse et leur tarif compétitif, face à des concurrentes italiennes ou allemandes plus modernes, certes, mais aussi nettement plus chères. L’Austin-Healey 3000 MK III et l’éphémère Triumph TR5 figurent parmi les plus emblématiques représentantes de cette espèce insulaire en voie de disparition…
A lire dans RÉTROVISEUR N° 313 juillet-août 2015
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